Un sĂ©jour dĂ©sagrĂ©able tout autant que lâattitude de la directrice... qui nâa dâailleurs jamais portĂ© le masque de protection COVID mais a parfaitement portĂ© le masque de la faussetĂ© et de lâĂtonnement feint devant toutes les faiblesses criantes de son Ă©tablissement. Un bel exemple de respect des gestes barriĂšres obligatoires, de communication et dâĂ©ducation. Vous lui parlez, elle tourne les talons ou lĂšve les yeux au ciel. Ăvidemment, que rĂ©pondre est difficile quand au fond de soi on est conscient de ses immenses lacunes. Mais oui levez les yeux au Ciel et joignez vos mains en priĂšre pour saluer le miracle dâavoir encore des clients... Mais pour combien de temps ?? Tout est faux : chambre deluxe (voir photos Ci-dessous bizarrement absentes du descriptif officiel), pas de restaurant, pas de bouteille dâeau dans ma chambre pourtant deluxe, climatisation annĂ©es 90 bruyante et Ă bout de souffle comme tout dans cette chambre, conditions dâhygiĂšne plus que douteuse. Et cela pour un prix trĂšs Ă©levĂ© ! Et en plus (câest cadeau) une impression de dĂ©ranger, dâĂȘtre indĂ©sirable. Je nâai pas vu de luxe juste du trĂšs ordinaire, du banal, du has ben, du never bien, du ringard... Le monde des faux semblants.
Patientez, la crise Ă©conomique que nous allons traverser fera son Ćuvre, se chargera dâĂ©liminer les verrues, les inefficaces. Ătre hĂŽtelier câest un mĂ©tier ! Câest avoir le sens de lâaccueil, aimer les autres : en somme tout ce qui a manquĂ©. Du travail en perpective pour la DGCCRF.